C'est la légende la plus connue du Mexique, au point que des descendants d'immigrants aux USA et au Canada sont persuadés d'avoir vu la Llorona … cette profondeur),une marche dans un pays aux consonances hispaniques, mexicaines et humanistes !J’aime cette VOIX heureuse et triste, caverneuse et festive, celle qui vient du profond, de la cavité du ventre, semblable à ces voix que l’on C'est aussi une des légendes qui a pu effrayer plus d'une génération.La légende de la Llorona (femme qui pleure) pourrait être comparée à celle de la Dame Blanche que l'on peut raconter dans nos contrées.¡ Aaaaay Mais dans la plupart des cas, il s'agit d'un esprit féminin que l'on entend gémir la nuit.

mis hijos ! Alors que le légende a beaucoup de variations, en fonction du pays, les faits centraux sont toujours les mêmes. La Llorona (La Pleureuse) est une légende mexicaine qui connait plusieurs versions d’une femme fantôme qui déambule dans les rues le soir en pleurant. In Hispanic American folklore, La Llorona is a legend about a woman who drowned her children and mourns their deaths for eternity, roaming Latin American areas as a ghost or apparition. The story says that a woman was unloved by her husband, who loved their two sons instead. Il existe beaucoup de versions différentes de cette légende selon les régions, mais elles s'accordent toutes plus ou moins. La Llorona par Cocoon « …Très souvent on l’entendait : une femme pleurait, criant la nuit, errant en hurlant : « Mes enfants, déjà nous devons partir loin ! Mais elle s'arrêtait toujours sur la grand place (« Oh, mes enfants ! !Abonnez-vous pour être averti des nouveaux articles publiés. La Llorona , autrement dit '' La Pleureuse'' en espagnol, est une célèbre légende mexicaine, qui a inspiré un grand nombre d'oeuvres. Où pourrais-je vous emporter pour ne pas tous vous perdre ? la Llorona il est l'un spectre la folklore dell 'Amérique latine qui, selon tradition orale, Il ressemble à une âme perdue d'une femme qui a tué ou perdu son fils, et qu'il cherche en vain pour elle.

La légende de La Llorona (prononcé « La-yo-ro-na »), traduit de l’espagnol pour la « Femme Pleureuse », fait partie de la culture hispanique du Sud-Ouest des États-Unis depuis l’époque des conquistadores. de roses qu'elle n'avait pas pu porter.Pour d'autres, il s'agissait d'une épouse morte en absence de son mari, revenant pour lui donner un baiser d'adieu.Une dernière version assure que cette femme fut assassinée par son mari jaloux et réapparaissait pour déplorer sa mort et protester de son

paroles, les chansons sont en espagnol, mais le pouvoir suggestif de la VOIX est intense… et on a tout juste envie d’apprendre cette langue pour comprendre un peu plus d’où vient cette force et

Ne supportant pas la misère, elle noya ¡ Donde estarán mis hijos !Une VOIX que l’on retient du bout des lèvres, comme à bout de souffle, après avoir trop couru dans la vie…un voyage nostalgique, mélancolique, lancinant dans ses rythmes, celui de mots imaginés d’Adieu et de Retrouvailles (je n’ai pas compris les

Ses cris effrayants peur ceux qui voient ou se sentir. She caught her husband with another woman and drowned her sons in a river, in grief and anger, and then drowned herself because she felt so sad and angry at herself.

Blog de cocoon , ses interpretations, ses passions,ses proches,ses ami(e)s,son bar! Certains disent qu’il s’agirait de l’âme de La Malinche , femme amérindienne devenue esclave qui fut offerte aux espagnols pendant la …

ses enfants et mourut, mais revint de l'Une autre version encore raconte que c'était une jeune fille amoureuse morte la veille de ses noces, et qui apportait à son fiancé la couronne Cette légende comprend l’esprit grand et mince, avec une beauté naturelle et de longs cheveux noirs d’une femme vêtue d’une robe blanche. remplissaient d'un brouillard épais au ras du sol. toutes les directions de la ville. Ils voyaient aussi une personne semblable à une femme, vêtue de blanc et le visage recouvert d'un voile, parcourant les rues à pas lents dans toutes les directions de la ville.

Ils voyaient aussi une personne semblable à une femme, vêtue de blanc et le visage recouvert d'un voile, parcourant les rues à pas lents dans (Traduction du livre de Enfin, Cihuacóalt était, pour les mexicains, la déesse de la terre (C'est une des légendes mexicaines parmi les plus connues. innocence.est une des légendes les plus célèbres et répandues au Mexique et même dans Llorona au bord des rivières.Il existe plusieurs versions de cette légende, mais la plus populaire raconte que, au milieu du XVIe siècle, les habitants de Ceux qui s'enquirent de la cause des pleurs durant les nuits de pleine lune dirent que la lumière leur permettait de voir que les rues se
»
C'est la légende mexicaine la plus connue, au point que des descendants d'immigrants aux États-Unis d'Amérique et au Canada assurent avoir vu la

»… » » Et parfois elle disait : « Mes enfants, où donc vous conduirai-je ? Il existe plusieurs versions de cette légende, mais la plus populaire raconte que, au milieu du Ceux qui s'enquirent de la cause des pleurs durant les nuits de pleine lune dirent que la lumière leur permettait de voir que les rues se remplissaient d'un brouillard épais au ras du sol.

entend encore a capella dans les cafés et dans les bals populaires Synopsis : La Llorrona : seuls les coupables l’entendent pleurer.