… Bien ! Toutefois, c'est l'intensité de votre engagement qui transformera souvent l'échec en succès. Si la réussite immédiate n'est pas indispensable, chaque réussite renforce l'image que chacun se fait de lui-même.Une estime de soi haute permet de transcender les blessures de l'Être. ""Précisons le soin à apporter aux foulées de pas qui précèdent et engendrent le trot. Si nous sommes avec un cheval c'est essentiel pour son bien-être psychique que nous soyons son dominant ! Mais ces succès – surtout en dressage – ne doivent pas nous leurrer : des irrégularités de locomotion et d'attitude, même chez les chevaux les mieux classés, laissent supposer des méthode de formation dommageables à la santé du cheval. Le Paddock Paradise encourage l'interaction sociale saine en fournissant l'environnement correct pour les familles équines. Le désengagement s'avère donc tout indiqué pour contrôler un cheval qui veut s'échapper, ruer ou se cabrer. J'en veux pour preuve l'anecdote rapportée par André Monteillhet dans son livre Les Maîtres de l’œuvre équestre (Odège 1979) : un grand seigneur de France conduisant son fils chez Monsieur Duplessis lui avait dit en l'abordant : "Je vous prie de bien vouloir enseigner à mon fils à bien accorder à cheval ses jambes et ses mains." ""Frédéric Mathias Alexander est né en 1869 à Wynyard, sur la côte Ouest de la Tasmanie, une île située au sud de l'Australie.
Equitation classique, western, éthologie, randonnée, endurance, TREC, equifeel, horse-ball, pony-game, etc. © 2020 CHEVAL ANNONCE. Elle a un rôle transitoire. S'observer en train d'avoir peur permet de s'en libérer, de faire la paix avec elle. […] Un cavalier digne de ce nom est un "homme de bien" qui ne perd jamais son calme, ni sa patience, ce qui n'exclut ni la fermeté ni l'autorité. Après une vive contrariété, n'eût-elle rien à voir avec le cheval, le dresseur doit avoir la sagesse de remettre au lendemain la leçon du jour et savoir se contenter d'offrir à son élève une simple promenade de santé. Quand la science et la spiritualité s'allient, on obtient la perfection du mouvement, le brio de l'exécution et cette "étincelle" dont j'ai déjà parlé.
Ce qui nous a le plus servi dans l'enseignement de Tom c'est de réussir une chose avec un cheval en évitant de le perturber. ""Si vous décidez d'échouer avant même de vous mettre en selle, mieux vaudrait laisser le cheval au box. ""Même si beaucoup d'entre nous utilisent le cheval pour s'évader de ce qui nous pèse dans d'autres domaines de l'existence, aucune séparation entre nos différents espaces n'existe vraiment. D'abord, nous voulons simuler le territoire naturel du cheval sauvage, avec une "piste". Dans ces conditions, comment parler d'exploitation maximale de la flexibilité ?Comment assouplir l'ensemble sans utiliser et développer la flexibilité de la partie la plus libre de la tige vertébrale, au bénéfice des autres ? […] Il faut offrir cela à votre cheval, en dirigeant son corps vers un but, puis en partant dans cette direction. Essayez de comprendre ce qu'il tente de vous dir"Parfois votre cheval sait ce que vous voulez, il essaie de le faire, mais ça lui prend du temps pour coordonner ses gestes. Sa génétique le pousse à se battre, encore et encore, même si c'est seulement sous la forme de désobéissance occasionnelle. ""Notons qu'il ne vient pas "sur la main" ou "en avant de la main", c'est à dire en appui, ni "en arrière de la main" (avec le cheval qui fuit le mors et s'encapuchonne), mais "en main" : le mors étant "en barrière", le cheval se place juste derrière, attentif à ses messages. Après tout, c'est vous qui voulez monter. Celle-ci est toujours calme, jamais violente, jamais brutale mais elle ne transigera jamais et sur rien. Aucun. Or, l'art n'existe pas sans amour. Je supputais que cette tendance à l'attaque était directement liée à sa préparation à la fuite : directement face à la source du danger, l'éléphant devait se tenir suffisamment aux aguets pour pouvoir faire volte-face en un éclair et fuir mais si le danger était sur le côté, il lui suffisait de fuir droit devant lui, une option plus simple, et donc moins inquiétante. Au cours des deux ou trois dernières foulées, le cavalier n'intervient pas avec ses aides supérieures (certains cavaliers montent même dans le vide) ; les jambes agissent assez fort pour inciter le cheval à "taper dans le pied".
L'angoisse engendre l'échec. Pour cela dès la réception il rassemblait son cheval au point de lui faire faire des foulées de 0,50m.
Sa langue, à peine effleurée par l'embouchure, a esquissé sous le frôlement du mors, la tentative de soulèvement qui constitue le début de la décontraction, et le cavalier n'a pas manqué de récompenser son élève dès qu'elle s'est produite.Mais la fréquence de ces tentatives, et leur ampleur, varie beaucoup avec la nature du mouvement exécuté.