Les pompiles ne sont pas éclectiques dans le choix des araignées auxquelles ils s'en prennent : ils ne s'intéressent qu'à certaines espèces de mygales, voire une seule, qu'ils reconnaissent tactilement et olfactivement. Les ancêtres des mygales peuplaient déjà la Terre il y a 400 millions d'années.
Les mygales ont principalement élu domicile dans les régions tropicales et subtropicales du globe, le plus souvent dans les forêts profondes et humides. Les pompiles ne sont pas éclectiques dans le choix des araignées auxquelles ils s'en prennent : ils ne s'intéressent qu'à certaines espèces de mygales, voire une seule, qu'ils reconnaissent tactilement et olfactivement.
Des sortes d'esquisses réduites ont été retrouvées à côté de plusieurs des grands dessins, et servaient peut-être de modèles pour la réalisation finale de ceux-ci.On suppose que les Nazcas attribuaient des forces magiques aux animaux, et certains pensent que ces dessins en seraient la matérialisation.
Puis la mygale reste sur le dos un certain temps.
De chaque côté des chélicères se trouvent deux palpes, ou pattes-mâchoires, aux fonctions diverses. Cet article concerne les araignées. Dans ce cas précis, tout comportement agressif de la mygale semble curieusement inhibé, et l'araignée prend la fuite ou s'immobilise, comme hypnotisée, au lieu d'adopter la posture d'intimidation qui lui est habituelle lorsqu'elle est attaquée. C'est là qu'elles attendent le crépuscule ou la nuit pour aller chasser.Le terrier est également une protection contre les ennemis éventuels. Grâce à cette autotomie, la mygale conserve la vie sauve sans pour autant rester handicapée, car le membre perdu se régénérera complètement à la mue suivante ou après quelques mues.Chasseresses redoutables, les mygales utilisent des techniques diverses pour arriver à leurs fins. Petit à petit, par de lentes pulsations, le céphalothorax et l'abdomen se fendent latéralement. L'ouverture de l'appareil génital, comportant ovaires, « utérus » et vagin, est située entre les fentes des poumons.Chaque chélicère est constitué d'une tige épaisse sur laquelle s'articule un crochet qui se rabat dans une gouttière de la tige. Ainsi, pour désigner quelqu'un d'un peu fou, on dit qu'il a « une araignée au plafond ».
Représentées sur la presque totalité des continents, elles sont plus abondantes en Amérique du Sud et en Afrique. Il la détecte le plus souvent grâce à des substances particulières, ou phéromones, qu'elle laisse derrière elle au cours de ses déplacements ou près de son abri.Dès qu'il l'a repérée, le mâle parade parfois, en agitant ses premières paires de pattes ou en pianotant. Ce sont les tarses des appendices antérieurs qui, modifiés, fonctionnent comme des seringues.À la nuit tombée, le mâle construit une petite toile, appelée « toile spermatique », et se place dessous, y collant sa fente génitale abdominale pour y déposer des gouttes de sperme, qu'il récolte ensuite avec ses bulbes copulateurs.
Il y a bien eu quelques cas d'araignées transportées dans des régimes de bananes, mais il s'agissait le plus souvent d'araignées bien inoffensives.Cette peur des araignées n'est toutefois pas générale, puisqu'un intérêt pour ces animaux se manifeste depuis quelque temps en Amérique et dans les pays européens, où les mygales sont choisies par certains comme animaux de compagnie. Les femelles, en revanche, muent jusqu'à la fin de leur vie.Les mygales vivent surtout dans les régions chaudes du globe. Ce sont des araignées à terriers munis d'un opercule.L'origine des mygales remonte à des temps très reculés. Peu de temps après la sortie du cocon, les jeunes araignées s'éparpillent au sol. L'araignée immobilisée est installée dans un terrier établi par l'insecte dans des sols meubles ou dans du bois, ou dans le propre abri de l'araignée.
Ce n'est souvent qu'après plusieurs essais, entrecoupés de pauses, qu'il parvient enfin à mettre ses bulbes en contact avec la fente génitale de la femelle pour y introduire sa semence. (nouveaux animaux de compagnie) qui consiste à garder chez soi des individus d'espèces sauvages n'ayant aucune vocation à être maintenues en captivité, et encore moins à être domestiquées. Le syndrome observé est de type neurotoxique et conduit en particulier à un blocage de la transmission neuromusculaire (paralysie). Les amateurs doivent respecter des règles strictes : la température doit être maintenue entre et le genre fossile n'appartenant à aucune famille :